T e s t   b e a u t é   9    


Vous êtes plutôt corps ou visage ?


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MAJORITE DE: 
Vous êtes plutôt corps.
Votre corps est votre priorité. Vous le soignez, l'entretenez, l'aimez, et vous ne vous privez pas de le montrer. Qu'il s'agisse de vos courbes, de votre minceur ou de certains points (jambes, fesses, poitrine, épaules), peu importe, vous savez les mettre en valeur. C'est là que se joue votre intérêt : capter les regards afin de vous sentir distinguée des autres, désirable et donc ayant de la valeur à vos propres yeux. Le surinvestissement dans le corps n'est pas un signe de confiance en soi ou d'affranchissement du regard d'autrui, c'est même le contraire. Il traduit une fragilité narcissique que l'on essaie de combler en se transformant en objet de désir. C'est souvent le cas lorsqu'on n'a pas été regardée de manière valorisante ou bien lorsqu'on a été l'enfant-objet de ses parents, celui qui devait faire plaisir pour être aimé. Dans tous les cas, vous vous sentez vraiment exister lorsque vous suscitez des regards de désir ou d'envie.
Vers l'équilibre: Redonnez-vous de la valeur. En répertoriant vos qualités, en vous remémorant vos réussites. Réintégrez votre intériorité au lieu de vous focaliser sur votre image. Investissez-vous dans des activités pour lesquelles vous avez du talent et de l'intérêt. Variez votre palette relationnelle, afin de ne pas réduire la séduction à la seule capacité d'inspirer le désir ou l'envie.


MAJORITE DE: 
Vous êtes plutôt visage.
Pas de doute, vous misez en priorité sur votre visage. Vous savez comment mettre vos traits en valeurs, donner de l'éclat à votre teint, de la profondeur à votre regard ou encore choisir la coupe ou les coiffures qui expriment le mieux votre personnalité et votre charme. En revanche, tout se passe comme si vous n'aviez pas de corps. Vous le soignez mais de manière basique, automatique, comme si, entre lui et vous, ce n'était pas vraiment le grand amour. Il se peut que le désaccord soit récent (une grossesse, des kilos superflus, une maladie...) ou bien qu'il ait toujours existé, soit parce que ce corps a été, de tout temps, source d'embarras ou de complexe, soit parce que vous lui accordez un rôle strictement fonctionnel. C'est souvent le cas dans les cultures familiales qui diabolisent la féminité et la sexualité, ou dans celles qui ne valorisent que les qualités intellectuelles et méprisent le corps. Toutefois, on peut dire que votre corps est un mal-aimé, et que, s'il n'est pas négligé, il est de fait un peu trop discret dans votre vie et dans votre façon de prendre soin de vous.
Vers l'équilibre: Redonnez de la place au corps. En le regardant, en le touchant, en ralentissant les gestes dans les soins quotidiens, en choisissant des vêtements qui prennent en compte la silhouette tout entière et qui ont du style, plutôt qu'en vous réfugiant sous des tenues camouflage. Repérer ce que l'on aime le plus dans son corps (ou ce qui déplaît le moins) et le mettre en valeur est un bon début pour développer une bonne image de soi.


MAJORITE DE: 
Vous êtes corps et visage.
Impossible pour vous de ne pas vous appréhender dans la globalité. Un corps, une silhouette, un visage et aussi un look. Cette attention, qui demande du temps et des moyens, n'est pas forcément vécue comme une contrainte par toutes les femmes. Vous pouvez aussi bien appartenir à la famille des perfectionnistes qu'à celles des « bien dans leur peau et avec leur image ». Tout dépend de la façon dont vous vous regardez, dont vous prenez soin de vous ou dont vous vous aimez. Plus votre regard sur vous est bienveillant, moins vous vous sentez dépendante du regard et des jugements des autres, plus votre relation à votre image est légère et source de plaisir. Si ce n'est pas le cas, cette relation difficile, qui se traduit par une exigence et une vigilance de tous les instants, mérite que vous alliez interroger la manière dont vous avez été regardée, conseillée et guidée dans votre féminité. On peut devenir perfectionniste si l'on ne s'est pas sentie valorisée enfant, ou encore si l'on a été un peu trop traitée en « poupée », ou si l'on a hérité d'une anxiété quant à sa capacité à être vue ou à plaire. En tout état de cause, il y a contrainte lorsqu'on n'est jamais vraiment détaché de son image et qu'on ne se met jamais en mode lâcher-prise.
Vers l'équilibre: Apprenez à vous ainn condition. Gardez à l'esprit que mal coiffée ou mal habillée, vous avez de la valeui Essayez de vous affranchir du regard autres. Comment vous aimez-vous ? Quel style est vraiment le vôtre ? Allez vers qui vous permet de vous sentir vous-même et naturelle. En relâchant la pression, vous gagnerez en légèreté intérieure et, donc, en charme.


MAJORITE DE: 
Vous n'êtes ni corps ni visage.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que vous n'êtes pas préoccupée par votre apparence. Pour vous, la beauté se résume à l'essentiel: être nette, présentable et offrir une image plutôt agréable. Cela ne signifie pas que vous ne prenez pas soin de vous, mais n'avez pas besoin de vous protéger derrière une apparence « parfaite » pour être bi dans votre peau. Peut-être avez-vous eu la chance de bénéficier d'un environnerr familial ouvert, qui vous a fait vous sentir aimée de manière non conditionnelle. Il se peut aussi que cette bienveillance se soit doublée d'une transmission positive de la féminité, auquel cas vous savez vous mettre en valeur, vous avez plaisir à prendre soin de vous et à plaire sans que cela soit vécu sous forme de contrainte. Il se peut aussi que ce détachement penche du côté d'un certain oubli de soi qui est moins positif qu'il n'en a l'air. C'est le cas si votre regard sur vous est critique et que vous préfez réduire votre ordonnance beauté au strict minimum. Il serait alors utile de vous interroger sur ce qui brouille l'image que vous avez de vous. L'absence d'un regard bienveillant ? Le mépris dans votre famille de ce qui serait de l'ordre d'une féminité jugée superficielle ?
Vers l'équilibre: Cessez de vous traiter comme une machine qu'on entretient en intégrant la dimension « plaisir » dans les gestes de soins quotidiens. Se faire masser, se regarder avec amabilité, chercher le petits plus (coiffure, maquillage, look) qui personnalisent sont autant de moyens de tisser une relation plus douce avec soi.