T e s t f o r m e 1 |
VOTRE PROFIL ALIMENTAIRE: Plus votre score de oui est élevé, plus vos contraintes psychologiques et émotionnelles sont en jeu dans votre difficulté à maigrir. Ce test vous permet d'aller plus loin en évaluant votre dépendance psychologique à vos émotions (questions 1 à 8), votre culpabilité par rapport à la nourriture (questions 9 à 15) et votre idéalisation de la minceur (questions 16 à 20). |
Si vous avez UNE MAJORITÉ , DE OUI AUX QUESTIONS DE 1 À 8: Votre lien à la nourriture est très dépendant de vos émotions. Dans différentes situations, vous apportez une réponse « aliment » à un besoin qui réclame une autre solution (sécurité, apaisement...). Parce que vous manquez de confiance en vous, au lieu de puiser les solutions en vous-même vous les recherchez à l'extérieur et pensez échapper au manque affectif en mangeant. Les clés pour s'en sortir: Apprendre à identifier ses émotions et à ne pas les fuir lorsqu'elles surviennent. Quand on est en colère ou qu'on a peur de quelque chose, il faut s'en rendre compte. Autre priorité: éviter de répéter certains schémas, comme manger systématiquement dès qu'on a un coup de stress, et veiller à mettre en œuvre une solution appropriée, par exemple pratiquer la respiration profonde qui permet de se relaxer. |
Si vous avez UNE MAJORITÉ , DE OUI AUX QUESTIONS DE 9 À 15: Vous entretenez, comme beaucoup de femmes qui font attention à leur poids, un lien de culpabilité à la nourriture. Vous essayez de respecter une normalité, un « équilibre alimentaire » mais, par la même occasion, vous reniez vos désirs d'aliments plaisir. Or ces envies sont le reflet de nous-même et faire comme si elles n'existaient pas équivaut à nier notre propre existence. Cette volonté d'échapper à soi-même provoque des compulsions alimentaires au cours desquelles vous ne parvenez plus à vous poser de limites. Les clés pour s'en sortir: Accepter derevenir aux aliments aimés aide à trouver les limites, grâce à la « satiété sensorielle » qu'apporté la dégustation de ce qu'on aime. Autrement dit, en aiguisant ses sens, en s'autorisant de temps en temps à déguster une petite quantité de son aliment favori, avec la satisfaction réelle de reconnaître et d'apprécier tous les arômes, on saura repérer son seuil de satiété et ainsi s'affranchir de sa hantise de grossir. Et on abandonnera peu à peu le contrôle excessif pour réapprendre à se nourrir pour le plaisir, et non pour se punir. |
Si vous avez UNE MAJORITÉ , DE OUI AUX QUESTIONS DE 16 À 20: Vous avez tendance à vous bercer de douces illusions, dont celle que maigrir rend heureuse. Certes, notre bien-être corporel a des répercussions très impor¬tantes sur le bonheur et les premiers temps sont euphorisants: l'amaigrissement améliore le quotidien et fait échapper à la discrimination qui frappe les gros. Mais, après l'embellie, on se rend compte que ça ne change pas fondamentalement la vie et, du coup, on retombe dans la même ornière. Les clés pour s'en sortir: Ne pas se bercer d'illusions et accepter le fait que mincir n'apportera pas forcément le bonheur, même s'il s'agit d'un vrai changement en profondeur. Admettre aussi qu'on ne pourra pas y parvenir sans se remettre à une activité physique régulière et se rappeler que la masse maigre - autrement dit les muscles - consomme plus de calories que la masse grasse, y compris au repos ! Le but: savoir écouter son corps pour atteindre son poids de forme (celui où l'on se sent bien) et non son poids idéal (celui dont on rêve). |