P s y c h o   t e s t   7    


Quelle héroïne se cache en vous ?


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Votre profil.

MAJORITE DE: 
Votre héroïne est exploratrice.
Comme Alexandre David-Néel. Partir, découvrir... Vous raffolez des imprévus, des cadeaux du destin qui viennent enrayer la machine trop ronronnante du quotidien. Votre pire cauchemar ? L'immobilisme physique ou intellectuel. Vous aimez les voyages et les idées qui décoiffent. La sécurité et le confort ne font pas partie des critères qui déterminent vos choix de vie. Mais attention ! ce goût de l'exploration a également tendance à vous rendre rapidement insatisfaite, d'un lieu, d'une situation ou d'une personne. Passé les premiers moments grisants de la nouveauté, l'ennui s'installe et cela vous pousse à repartir en quête de nouvelles stimulations, au détriment parfois d'une certaine paix intérieure et d'une certaine profondeur. H serait peut-être utile de vous poser quelques questions: Qu'est-ce que je cherche ? Qu'est-ce que je fuis ? Ai-je peur de passer du temps seule avec moi-même ? La sagesse orientale nous le répète: le quotidien peut être une aventure extraordinairement riche si on le vit sur le mode « ici et maintenant ».


MAJORITE DE: 
Votre héroïne est romantique.
Comme Sissi. Emotions excessives et sentiments intenses. Votre vie est guidée par l'affectif et le rêve. Aux histoires d'amour simples, vous avez toujours préféré les passions brûlantes. N'y aurait-il pas en vous une petite fille qui rêve d'être enlevée par un beau prince ténébreux ? Vous aimeriez vivre votre vie comme un conte de fées, dans un décor somptueux. Du coup, quand la vie vous déçoit, vous choisissez de la vivre par procuration: les grands romans, la vie des people... Il y a dans votre posture quelque chose qui dénote le besoin de vous protéger d'une réalité trop dure. S'agit-il d'un passé que vous ne voudriez revivre à aucun prix ou bien n'avez-vous pas été du tout préparée à affronter la vie et sa cohorte d'émotions ? Quoi qu'il en soit, vous devriez peut-être vous frotter progres-sivement au réel. Pourquoi ne pas investir votre sensibilité, votre sens du beau et du grandiose dans des activités artistiques ? Cela vous permettrait de rester dans l'univers qui vous convient, mais de manière plus créative et plus constructive.


MAJORITE DE: 
Votre héroïne est révolutionnaire.
Comme George Sand. Votre plus grande source de révolte ? Le monde tel qu'il est, injuste, pollué, individualiste. Rien ne vous énerve plus que le cynisme et l'indifférence. Combative et courageuse, vous êtes aussi active et positive car vous savez être force de proposition. Si votre entourage redoute vos « coups de gueule », il sait également qu'il peut compter sur votre loyauté et votre générosité. Toutefois, l'excès de colère affaiblit votre énergie vitale et vous fait trop souvent négliger votre bien-être physique et psychique. Gare aussi à un autre piège qui guette les idéalistes: une certaine intransigeance, voire de l'intolérance. Servir un idéal, aussi noble soit-il, ne signifie pas que l'on doive se transformer en juge moral et critiquer ou ignorer ceux qui ne partagent pas nos valeurs. Pour ne pas tomber dans ce travers, pratiquez l'introspection: D'où vient ma colère ? Quelles situations ai-je vécues dans ma vie qui ont pu la nourrir ? C'est en vous questionnant sans complaisance que vous pourrez faire la différence entre servir un idéal et se servir d'un idéal pour tenter de régler ses vieux problèmes personnels.


MAJORITE DE: 
Votre héroïne est provocatrice.
Comme Coco Chanel. Etonner, détonner, bousculer, choquer... vous aimez cela. Vos points de vue, vos comportements, votre look... tout contribue à faire de vous celle par qui le scandale arrive. Mais vos provocations ne seraient-elles pas l'appel de l'enfant à ses parents ? « Regardez-moi, aimez-moi... » Les personnalités provocatrices ont souvent manqué de ce soutien, de ce regard parental qui rassure. Mais il arrive aussi que cet amour inconditionnel ait été excessif et que l'on ne puisse plus s'en passer à l'âge adulte. Attirer l'attention est également le moyen de s'ajouter ce dont on croit manquer: de l'épaisseur, du piquant, du mystère. Mais cette stratégie est très coûteuse en temps et en énergie, car elle ne parvient jamais à restaurer la confiance de fond qui manque. « Toujours plus » est le moteur de cette quête identitaire. Si celle-ci devient trop anxiogène, il est sans doute temps d'entamer une réflexion sur les moyens de mettre cette énergie au service de sa créativité et de son estime de soi. Et pas seulement au service de son image.