P s y c h o   t e s t   10    


Quelle mère fusionnelle êtes-vous ?


Vos résultats

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Votre profil.

MAJORITE DE: 
Votre devise: ressentir pour mieux aimer. Etre réceptive sans être à l'affût, soutenir sans étouffer, accueillir ses confidences et ses émotions sans être intrusive... C'est, en matière d'éducation, votre conviction. Cela ne vous empêche pas de tendre autour de lui un filet de sécurité afin qu'il sente la présence d'adultes vigilants et prêts à le secourir si nécessaire. Dans cette relation, l'enfant n'est ni l'objet de parents tout-puissants, ni livré à lui-même. Ses désirs et ses besoins sont, la plupart du temps, entendus et respectés. Ce qui lui permet de développer une bonne estime de soi. Les parents ne sont pas en rivalité éducative. Cela suppose une bonne relation de couple et un sentiment de sécurité affective suffisant.


MAJORITE DE: 
Votre devise: contrôler pour mieux aimer. De votre enfant, vous voulez tout savoir, tout avoir. Il suffit qu'une zone d'ombre se glisse entre vous pour que cela réveille brutalement votre angoisse d'abandon. Vous vivez de manière souvent douloureuse les séparations (nounou, école, adolescence...). Chaque tentative de sa part pour s'affirmer est vécue comme une expression de désamour. Si les conflits vous blessent, n'oubliez pas qu'ils sont indispensables à votre adolescent pour grandir. Tout votre travail émotionnel consistera à respecter son intimité sans vous sentir menacée dans vos liens affectifs. Aidez-vous en laissant plus de place à votre mari. Il y a peut-être dans votre passé des blessures (manques, négligences) qui demandent à être soignées. Il n'est jamais trop tard.


MAJORITE DE: 
Votre devise: se ressembler pour mieux s'aimer. Inconsciemment, vous aimeriez que votre enfant soit votre reflet exact. Ou bien qu'il soit celui que vous auriez aimé être. Contrairement aux idées reçues, ce processus n'est pas négatif. Un enfant sur lequel on ne projette rien pense qu'il ne mérite pas l'intérêt de ses parents. Or vous avez, pour votre enfant, de nombreuses attentes. Elles peuvent avoir un effet moteur si elles respectent sa personnalité. Si ce n'est pas le cas, elles produisent des effets négatifs car l'enfant se sent nié dans sa singularité. Pour rétablir l'équilibre, il faut se mettre à son écoute. Cela signifie accueillir sans juger ni comparer, et prendre en compte ses goûts, son rythme, etc. Pourquoi ne pas aussi tenter d'identifier vos besoins personnels et travailler sur eux sans impliquer votre enfant de manière excessive dans votre histoire ?


MAJORITE DE: 
Votre devise: anticiper pour mieux aimer. Le moins que l'on puisse dire, c'est que vous n'envisagez pas la vie par le prisme de la confiance et du lâcher-prise. Cette attitude inquiète imprègne la relation que vous avez avec votre enfant. Avec lui, vous êtes sur le qui-vive, vous le sondez, le scrutez et l'interrogez pour vous assurer que tout va bien. Le problème est que, loin de le rassurer, votre anticipation systématique des dangers et des problèmes lui fait inconsciemment aborder le monde et les autres de manière négative ou tout au moins angoissée. Pourquoi ne pas essayer d'apaiser votre anxiété, soit en vous confiant à votre conjoint puis en lui faisant confiance dans ses décisions et positions, soit en entamant un travail (relaxation, yoga, thérapie) ?