P s y c h o t e s t 11 |
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MAJORITE DE: Vous êtes trop pessimiste: La nouveauté et l'imprévu ? Des menaces potentielles. Un projet enthousiasmant ? Trop beau pour être vrai... Organisé, méthodique et rigoureux, vous excellez dans la gestion des risques. Mais cette gestion que vous pensez réaliste est fortement imprégnée d'un pessimisme que vous vous refusez à admettre. Aussi préférez-vous souvent l'immobilisme ou la politique des tout petits pas à la prise d'initiative. Ce qui ne vous protège pas de l'insatisfaction car, à ne rien tenter, on n'obtient rien. Vous avez conscience que les opportunités vous échappent trop souvent, que vous enviez au fond de vous ceux qui ont le courage de prendre des risques, de foncer. Sans doute avez-vous baigné dans une atmosphère familiale faite de méfiance à l'égard des autres. Il se peut aussi que vous ayez vécu très tôt des événements douloureux (deuil, maladie, difficultés matérielles) qui ont entamé précocement votre capital confiance. Pourquoi ne pas essayer de renverser peu à peu la tendance en osant prendre des risques (mesurés et ponctuels) sur les petites choses du quotidien ? Par exemple, tirer parti d'un imprévu en le transformant en opportunité au lieu de ruminer votre déception ? Ou encore laisser un de vos proches prendre une décision qui vous séduit, mais que vous n'oseriez pas assumer tout seul ? |
MAJORITE DE: Vous manquez de confiance en vous: Les échecs vous affectent, mais ne vous étonnent pas plus que ça. La raison de ce fatalisme ? Vous ne vous trouvez pas à la hauteur des défis ou des opportunités que la vie vous propose. Vous avez tendance à vous comparer aux autres, à évaluer leurs talents, leur chance, et en tirez des conclusions en votre défaveur. « Je ne suis pas à la hauteur », « je n'y arriverai pas » sont vos mantras plus ou moins conscients, et aussi vos principaux obstacles à surmonter. Sans doute avez-vous manqué d'un regard positif sur vous, ou avez-vous traversé des expériences difficiles dont vous n'avez pas réussi à tirer les bons enseignements pour vous, il est urgent de restaurer votre estime de soi et votre confiance en vous. Première étape: sortir des jugements en bloc. « Jamais », « toujours » sont des adverbes à manier le plus rarement possible. Nuancez vos critiques sur vos actions. Non, vous n'avez pas « tout raté », vous avez réussi telle chose et moins bien telle autre. Cette reprogrammation vous permettra de modifier la perception de vos expériences et de vos compétences. Pourquoi ne pas tenir le journal de vos petites victoires ? Chaque jour, notez un événement dont vous pouvez être fler (un plat réussi, un compliment reçu...). Vous vous rendrez vite compte que vous valez beaucoup mieux que ce que vous croyez. |
MAJORITE DE: Vous êtes dans l'inattention: Souvent réfugié « dans votre bulle », vous avez du mal à vivre dans le présent. Soit vous revivez le passé, soit vous vous projetez dans l'avenir. Rien d'étonnant à ce que les opportunités et les informations qui pourraient vous aider ne vous parviennent pas. Résultat, vous invoquez la « faute à pas de chance » pour expliquer vos petits et grands ratages. En réalité, vous ne prêtez pas assez attention à ce qui se passe autour de vous ni à ce que vous voulez vraiment. Pourquoi ne pas essayer de vous accorder un tête-à-tête avec vous-même pour vous demander simplement ce que vous attendez de la vie ? Commencez par vous interroger sur ces différents domaines (couple, travail...). Qu'est-ce qui vous épanouit ? Que vous manque-t-il pour être plus heureux ? Un ami pourra jouer le rôle du questionneur neutre et notera vos réponses. Puis, à vous de donner la priorité à ce qui semble essentiel à votre épanouissement en listant les petites actions qui vont servir votre objectif. Autre piste à explorer pour vous ancrer dans le présent: de courtes méditations quotidiennes. Assis, les yeux fermés, concentrez-vous sur chaque partie de votre corps et suivez votre respiration. |
MAJORITE DE: Vous êtes trop individualiste: Volontaire, persévérant, courageux, c'est indéniable. Mais aussi farouchement individualiste. Pas question de déléguer ou de faire équipe sur la base de relations égalitaires, vous tenez à avoir le final cut sur tout ce que vous entreprenez. Vous comptez uniquement sur vous pour avancer. Au travail, on apprécie votre engagement, on reconnaît votre fiabilité, mais un peu moins votre relationnel directif et peu chaleureux. Votre vie affective aussi est placée sous le signe du « moi ». Vous fuyez les conflits et les discussions trop intimes qui vous donnent le sentiment d'être mis à nu, donc plus vulnérable. Vous êtes-vous déjà questionné sur l'origine de ce repli sur soi ? De votre « besoin d'indépendance » ? Ce pourrait être une stratégie de défense inconsciente mise en place très tôt. Des manques affectifs, des traumatismes peuvent l'expliquer, tout comme des intrusions dans votre espace privé qui vous ont amené à défendre votre territoire bec et ongles. Dans tous les cas, il vous faut apprendre à ouvrir davantage vos portes et à vous tourner vers les autres. La chance durable ne se cultive pas en solitaire, elle est faite d'échanges, de partage et de dons gratuits. Entraînez-vous à demander conseil, à proposer votre aide, à donner des informations... Vous serez étonné des nombreux retours positifs. |